Les pissenlits par la racine
Durant sa captivité en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, mon grand-père travaillait dans une ferme où il transformait le chou, et dès qu’on ne le voyait pas, il pissait dedans.
Pour toute nourriture, il n’avait souvent que des pissenlits qu’il mangeait par la racine et des pommes de terre s’il avait de la chance.
A la fin de la guerre, les prisonniers furent libérés et la plupart durent revenir à vélo, mon grand-père en faisait partie.