Les joies du bac
Quand elle avait environ 7 ans, ma mère avait une meilleure amie, nommée Caroline. Jusqu’à ce qu’elle soit en troisième, Caroline demeura sa meilleure amie. Mais lorsqu’elles allèrent dans des lycées différents, elles se perdirent de vue.
Au moment du baccalauréat, alors que tous les jeunes de Paris étaient dispersés dans différents lycées, elles se retrouvèrent côte à côte. Le hasard avait bien fait les choses. C’était tellement improbable !
Après cette rencontre miraculeuse, elles sont redevenues amies.
Même si ma mère me raconte cette histoire à chaque fois que je la vois, je l’adore parce qu’elle montre que même quand on perd un ami, on peut le retrouver. Les vraies amitiés ne meurent jamais.