Jour de canicule
J’étais partie en vacances avec ma tante, ma sœur, mon cousin et Havane le chien de ma tante.
C’était le matin, nous nous étions réveillés tôt car nous avions prévu d’aller à la plage.
Chacun avait une tâche à effectuer : mon cousin s’occupait des serviettes, ma sœur devait sortir deux bouteilles d’eau fraîches. Et moi je devais préparer le sac avec les crèmes solaires, les casquettes, une gamelle pour l’eau du chien etc.
Nous étions sur le chemin pour aller à la plage. Havane découvrait une nouvelle ville, de nouvelles odeurs, de nouvelles personnes. Il se baladait sans laisse comme d’habitude. Nous étions presque arrivés à la plage et le chien était toujours ici et là à renifler chaque coins et recoins, il arrivait en courant. Il suivait ma tante au pas.
Ma tante demanda à un plagiste des transats et un parasol.
Une fois installés, ma tante nous demanda où était Havane. On pensait qu’il était à côté d’elle mais pas du tout. C’était la panique totale on ne le trouvait plus, ma tante nous engueula tous. On était quatre sur la plage à appeler Havane. Il ne répondait pas. Ma tante était dans tous ses états, au bord des larmes.
Dix, vingt minutes passèrent et toujours pas de chien. Il pouvait être n’importe où, mais on ne savait pas où chercher.
Au bout d’un moment j’ai proposé à ma tante de demander au plagiste s’il ne l’avait pas vu et il nous conduisit trois transats plus loin. Le chien était allé chercher de l’ombre sous le transat d’une dame.
Je pense même que, lorsqu’on l’appelait il devait juste lever la tête au lieu de venir nous retrouver.
Voilà la panique oubliée, nous avons passé une très bonne journée à la plage après une grande frayeur.